Impacts de la vulgarisation sur le milieu saharien

Ce travail à l'objectif de mettre en lumière le rôle de la vulgarisation dans la préservation des écosystèmes sahariens. Fondu sur la base d-une série d-enquêtes effectuées sur 300 exploitations choisies et reparties dans quelques régions saharienne : Ouargla, Oued Souf et Ghardaia. Les résultats indiquent que la majorité des agriculteurs est caractérisée par un bas niveau de formation (74 %), une très rare utilisation des intrants et une mauvaise appréciation vis-à-vis des vulgarisateurs. Les autres agriculteurs (25 %) respectent les doses de fertilisation, ont une main d--uvre qualifiée, ils préfèrent la formation agricole et ne pratiquent pas de traitement phytosanitaire, ils pratiquent les cultures vivrières. Ces agriculteurs sont analphabètes, mais ils apprécient les vulgarisateurs. En revanche, 1 % d'entre eux ont un niveau secondaire et ils ont fait une formation agricole. Ainsi, il faut les encourager pour une meilleure application des programmes de développement.

KORICHI Brahim: 50 ans, marié ayant 5 enfants. Diplôme d-Ingénieur d-État en Agronomie Saharienne (Université de Ouargla) ; Diplôme de Magister en Sciences Agronomiques ; (Université de Ouargla) ; Diplôme en « Ingénierie de formation », à l-INPED -Alger ; Diplôme en « Poste Graduation Spécialisée en Vulgarisation », à l-ENSA-Alger. Doctorant.