Le Cadavre, Le Sépulcre Et La Philosophie Du Droit, Le Silence Des Lambeaux (Bjarne Melkevik, #7)

Il n'y a rien de plus humain que le cadavre, le sépulcre, la mort, le destin qui en égalité nous attend tous. En soumettant le cadavre, le sépulcre, à la réflexion philosophique, c'est l'esprit réaliste qui nous oriente, nous guide, nous inspire. L'objectif de notre essai, c'est de donner une réflexion philosophique, forcément circonscrite, sur l'intelligibilité qui se rattache à ce côté-là de ce qu'est l'humain.
Notre essai se veut avant tout compréhensif, « le cadavre, le sépulcre », ce sont des histoires, des cultures, des hommes et des femmes ayant vécu et ayant trépassé. Ces histoires, ces cultures ne se résument en rien à une homogénéité, une uniformité, une conformité, ils se déclinent presque à l'infini en hétérogénéité, en dissemblance, en diversité.
Au cadavre, au sépulcre, s'ajoute la pensée, la pensée critique. Les thèmes « le cadavre, le sépulcre, la philosophie » sont hautement d'actualité. Notre contemporanéité cultive de plus en plus une attitude doloriste, instrumentale, hygiéniste, utilitariste, aseptisée, à l'égard de la mort et du sépulcre. À travers ces thèmes s'exprime un aspect de notre zeitgeist, de l'esprit de notre temps, s'analysent des aspects de l'idéologie dominante.