Plates-formes de haute altitude : Opportunités et défis juridiques

Les plates-formes de haute altitude (HAP) ou "pseudolites", qui fonctionnent à une altitude d'environ 30 km ou plus au-dessus de la surface de la Terre, volent sans pilote ou restent éventuellement dans une position fixe, sont connues sous différents noms : plates-formes de haute altitude (HAP), plates-formes stratosphériques (SPF), plates-formes aéronautiques de haute altitude (HAAP) et de haute altitude de longue durée (HALE). Ces définitions ne tiennent même pas compte des intérêts militaires dans des programmes tels que les plates-formes de vol à haute altitude, les véhicules aéronautiques sans pilote (UAV), les véhicules de man-uvre dans l'espace proche, les pseudo-satellites ou "pseudolites", les dirigeables à haute altitude (HAA), les ballons à ultra longue durée (ULDB), les orbiteurs locaux à haute altitude (HALO), les systèmes de plates-formes à haute altitude et les aéronefs et dirigeables à haute altitude (HAAS).L'intelligence artificielle a été utilisée pour traduire ce livre.

Enis A. A. Shatri, LL.M.,(Adv.): Studierte Rechtswissenschaften an der juristischen Fakultät der Universität Pristina und an der juristischen Fakultät der Universität Utrecht, Niederlande. Erlangte den Master-Abschluss in Luft- und Weltraumrecht am Internationalen Institut für Luft- und Weltraumrecht der Universität Leiden, Niederlande.