Les mains étrangères¿

Cet ouvrage est destiné aux nouvelles générations. Il peut faire l-objet de débats pour les jeunes universitaires. L-auteur raconte en résumant des événements qui avaient marqué sa vie, à travers un processus démocratique, depuis 1988.Un pouvoir qui,depuis plusieurs décennies, n-a cessé d-opprimer des libertés individuelles et collectives et qui avait peur du soleil, de la démocratie et de la transparence. Il y eut des révoltes des séparatistes, des intégrités religieuses et des démocraties mais en vain, la loi du plus fort avait le dessus. Soumis à l-assistanat et à l-endoctrinement de Pavlov, des citoyens subissaient toute sorte de violence sans riposter. Sans doute, me semble-t-il, que les démunis se résignaient à la providence divine faute de l-ignorance et du laxisme inné qui avait gangrené la majorité des souches sociétales. Le discours héroïque des décideurs, à travers l-enseignement, les mass-médias et les artistes adeptes du pouvoir, avait généré une jeunesse irresponsable,partisane du moindre effort. Les mains étrangères nous renvoient à « l-autre », oui, à celui-ci qualifié de l-ennemi pour se justifier ; à un ennemi virtuel à combattre.

Laksi Menouar, né à Mostaganem, très jeune, inspiré par Saint-Exupéry et par Charles Baudelaire et plus autres auteurs français, je me suis mis à écrire. En fait, j'aime les mots et les tournures phrastiques quand on y met du sens...